Nous
avons pu repérer dans les entretiens que nous avons eu avec ces
« patients » de l'hôpital d'Aurillac dans le service
d'addictologie, combien le lien, à cet objet alcool ou drogue, est
férocement attirant pour que le sujet s'y succombe totalement
jusqu'à s'en plaindre. S'en plaindre de ne pouvoir s'en débarrasser
si ce n'est avec l'encadrement de ce tiers auquel ils ont toutefois
le courage de faire appel.